J’ai un livret autobiographique à rendre en français, et je dois trouver une œuvre d’art qui me correspond, me plaît, m’émeut et expliquer pourquoi ?

réponse:

oui ca à l'air d'être bien

je ne sais ps si sa respecte le sujet mais si tu veux prendre des idée à l’intérieur, je te laisse. si tu mets ça, ton prof va kiffer ; )

    c'était dans cette forêt, là ou farfadets et orques venaient à leurs rituels réguliers. c'était devant se manoir, où, à chaque pas, marcher à tâtons était devenu une habitude. devant se portail, furent dressées des gargouilles au regard glaçant, positionnée sur un mur en brique qui entravait tout le passage. le portail grinçait à chaque souffle de vent. en face imposante, se dressait devant moi ce manoir, ce manoir caduc, il semblait être un labyrinthite. pour pouvoir se retrouver dans ce dédale de manoir, la seul chose à faire est d'être plagiaire. il fallait plagier.il s’agissait de faire comme ariane dans la labyrinthite du minotaure. sauf que dans ce manoir, je suis ariane et les meubles ici et là seront le minotaure. c'était ces guéridons, ces tringles renversées qui me cherchaient. ils étaient là, devant moi, suivit de ces murs délabrée, de ces portes sans poignée qui s'ouvraient, de cette cuisine rongée.le fl de laine qui me servait de repère se coupait. c'était la porte qui l'avait mangée. les courant d'airs faisaient claquer les portes sans poignets. je suis désormais perdu dans un manoir. la seul chose à faire été de le dessiner. dessiner la pièce dans laquelle je suis.avec ses rideaux tombés, ces carreaux arrachés, ses bruits qui hurlaient sans cesse. c'était ce fauteuil, ce froids qui me caressait le dos. je crus être en pleine période de convalescence. c'était ce manoir abscons, ce manoir où je songeais. des lits dressés devant moi. trois lits, sales, de couleur marron.   un miroir fut dressé devant moi. j'avais trop peur de me voir. j'allumai le bougie présente devant moi.quand j'aperçus mon visage, je me reconnu à peine. mes yeux me parurent énorme. j'étais blême de peur. j'avais le visage creux qu'on les morts, les mains pâles qui ne remueront plus. je décidai donc de m'allonger sur un des lits stationnés devant moi. je pensai au lendemain, et me dis que peut être que demain je serai mort  ! j'ai donc pris peur de mon lit et décidai de stagner dans le coin de la porte sans poignets, me mettre la tête dans les bras et convulser comme le font les schizophrènes.